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Revue de la guerre antique Vol IV -2 - Blocus et assauts

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Ancient Warfare IV.2, avril/mai 2010 Thème : Blocus et assaut - La guerre de siège dans... plus
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Ancient Warfare IV.2, avril/mai 2010

Thème : Blocus et assaut - La guerre de siège dans l'Antiquité.

Introduction : Ross Cowan, "Introduction au thème"
La guerre de siège était au cœur de l'art de la guerre des Grecs et des Romains. L'imagination populaire peut être dominée par des images de batailles épiques sur le terrain impliquant des phalanges qui s'entrechoquent et des charges de cavalerie spectaculaires, mais la victoire sur le terrain est rarement synonyme de guerre gagnée, et les fortifications stratégiquement positionnées, offrant un refuge à de grandes communautés et dominant les lignes de communication et les routes commerciales, étaient souvent les principaux foyers de conflit. L'un des camps se retirait dans ses forteresses et mettait ses ennemis au défi de gaspiller leurs vies, leurs ressources financières, matérielles et autres en attaquant les murs.

La source : Sean Hussmann, "Reports from a witness. Thucydide on siege warfare" En tant que superpuissance navale, à l'époque des trirèmes qui devaient être mises à terre chaque nuit, Athènes devait contrôler des ports sûrs et des points d'ancrage dans toute la mer Égée. Il ne s'agissait pas seulement d'une question purement militaire. Athènes s'approvisionnait en céréales par la mer, depuis les terres fertiles autour de la mer Noire. La protection des routes maritimes vers les Dardanelles était donc une pierre angulaire essentielle à la fondation de son empire. Si ces routes avaient été interrompues par une puissance rivale, les conséquences pour la population athénienne auraient été mortelles. Au cours de l'hiver 424/423 av. J.-C., un stratège (général) athénien nommé Thucydide est chargé de protéger la région côtière de la Thrace contre de telles menaces.

Thème : Richard Evers, "Un mur d'hommes, au lieu de briques, est le meilleur. Succès et échec de la guerre de siège spartiate"
Les Spartiates ne sont pas réputés pour leurs fortifications ou leurs techniques de siège. Sparte aurait même refusé de construire un mur autour de la ville lorsqu'elle a adopté les préceptes de Lycurgue. Pendant la guerre du Péloponnèse, les Spartiates semblent avoir erré dans l'Attique sans but précis, n'osant pas s'attaquer aux longs murs d'Athènes. Mais certains événements notables montrent que Sparte avait des murs autour de sa ville et qu'elle s'est engagée dans la guerre de siège avec un succès considérable.

Thème : Joseph Pietrykowski, "Avec des soldats ailés. Six sièges d'Alexandre le Grand" Illustré par Johnny Shumate.
Bien qu'il soit surtout connu comme un commandant de champ de bataille d'un génie inégalé, Alexandre le Grand fut également l'un des assiégeants les plus prolifiques et les plus efficaces de l'Antiquité. Au cours de ses onze années de conquête, d'innombrables villes fortifiées et places fortes, de la Grèce à l'Inde et de l'Afghanistan à l'Égypte, sont tombées sous les coups de son train de siège de classe mondiale. Alexandre a si bien réussi à prendre ville après ville que l'on a souvent dit qu'aucune fortification ne pouvait lui résister.

Thème : Duncan B. Campbell, "Capturer une forteresse du désert. Flavius Silva et le siège de Massada" Illustré par Igor Dzis et Andrew Brozyna
Il n'est pas fréquent que les trois disciplines que sont l'archéologie, l'histoire ancienne et l'épigraphie se rencontrent pour éclairer un événement particulier. C'est pourtant ce qui se passe dans le cas de Massada. La forteresse du désert construite par Hérode le Grand est encore entourée de vestiges de sièges romains construits à la fin de la première guerre juive de Rome. Et tandis que Josèphe fournit le récit historique, une inscription détaillée sur la carrière militaire fait revivre le ravisseur romain de Massada.

Thème : Paul McDonnell-Staff, "Une guerre de logistique. Le siège de Jérusalem, 66 ap. J.-C.' Illustré par Carlos de la Rocha
La campagne de Jérusalem en 66 ap. J.-C. fut la pire défaite subie par Rome depuis la forêt de Teutoburg. Comment en est-on arrivé à ce désastre pour les armées romaines ? Les armées romaines avaient une réputation bien méritée d'invincibilité, et Cestius Gallus n'était pas dupe. La réponse se trouve dans la logistique, car c'est là que se situent les véritables problèmes de Gallus. L'empereur Néron déclara au peuple romain que le désastre avait été causé par l'échec des généraux, plutôt que par la bravoure des Juifs - et en cela, il avait sans aucun doute raison. Pour comprendre comment cela s'est produit, nous devons examiner les principaux facteurs qui ont affecté la campagne.

Caractéristiques
Spécial : Stephan Berry, "Les gènes des phalangites. Bioarchéologie et champ de bataille antique, partie 2" Illustré par Andrew Brozyna
Les mules de l'armée varoise sont mortes exactement au bon moment, peut-être pas du point de vue de Varus, mais certainement du point de vue de l'archéologie moderne. Grâce à une analyse chimique sophistiquée de l'émail des dents des animaux, les archéozoologues ont pu dater leur mort à la fin de l'été, ce qui correspond parfaitement à la date établie du 9 septembre de notre ère pour le désastre de Varus dans la forêt de Teutoburg.

Le débat : Murray Dahm, "The debate : 'The shove' or not 'the shove.'" (Le débat : 'la poussée' ou pas 'la poussée')
Illustré par Andrew Brozyna
Le terme othismos (littéralement "bousculer" ou "pousser", bien qu'il existe une myriade d'autres significations) est généralement considéré comme caractéristique du combat classique des hoplites lorsque deux lignes d'hoplites se rencontrent dans la bataille. On l'assimile souvent à une mêlée géante de rugby. Le débat fait cependant rage pour savoir si cet othismos était réel ou métaphorique, littéral ou figuratif, et les chercheurs se divisent essentiellement entre ces deux camps. Et, sans être aussi virulent que certains débats universitaires, il a été formulé dans la terminologie quasi-religieuse de l'orthodoxie et de l'hérésie. Le débat ressemble à un othismos, chaque argument poussant et sondant l'autre, certains arguments poussant l'autre dans le dos, forçant à céder du terrain alors que d'autres doivent eux-mêmes céder du terrain.
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